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JOURNEE NATIONALE DE REFLEXION SUR LE DON D'ORGANES

Journées d'informations
22/06/2021
Le 22 juin est la Journée nationale de réflexion sur le don d’organes et la greffe.
Mais savez-vous comment l’on devient donneur en France ?

1. Tous présumés donneurs ?
En France, tout le monde est présumé donneur. Un principe acquis depuis la loi Caillavet du 22 décembre 1976, renforcé par celle du 26 janvier 2016. Aucune rémunération ne peut être tirée de ce don et l’anonymat du donneur est préservé.Mais dans 92 % des cas, le don provient d’une personne décédée. Il revient alors à la famille ou aux proches de répondre aux médecins et donc de connaître le désir du défunt. Une décision qui doit se prendre rapidement, dans un moment douloureux, d’où le sens même de cette Journée nationale de réflexion qui incite les uns et les autres à dire clairement son choix.

2. Qui peut donner ?
Tout le monde, dès le plus jeune âge. Quand un enfant meurt, explique le site du ministère de la Santé, ses parents peuvent autoriser ce don qui s’adresse à un autre enfant. Même si le cœur est rarement prélevé chez des personnes de plus de 60 ans, il y a d’autres organes, comme les reins ou le foie qui peuvent l’être chez des personnes beaucoup plus âgées.Même les personnes malades peuvent donner, car seul le médecin peut juger à l’instant T de l’état d’un organe et de la pertinence du don.

3. Quand peut-on donner ?
De son vivant, le don d’organe concerne principalement le rein, et dans une moindre mesure le lobe du foie. Dans 92 % des cas, donc, le don est post-mortem.
Aussi, le prélèvement d’organes n’est possible que dans des conditions rares. L’organe greffé (ou greffon) provient d’une personne décédée en état de mort encéphalique au sein d’un service de réanimation. Ce type de décès est provoqué par l’arrêt définitif du fonctionnement du cerveau, le plus souvent, suite à un accident vasculaire cérébral ou à un traumatisme crânien. Cette situation représente à peine plus de 1 % des décès hospitaliers enregistrés en court séjour, événement rare qui fait du greffon un bien très précieux pour les patients en attente de greffe.

4. Comment signaler son refus ?
Toute personne peut totalement ou partiellement refuser le don d’organes.
En France, il existe trois manières d’exprimer son refus :
- le Registre national des refus, accessible en ligne ou par courrier postal ;
- le refus écrit ou oral transmis à ses proches. Dans ce dernier cas, l’équipe médicale demandera aux proches de préciser les circonstances de l’expression du refus et de signer la retranscription qui en sera faite par écrit.
Un enfant, à parti de 13 ans, a accès au Registre national des refus.
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