LA CONTRACEPTION BIENTOT GRATUITE CHEZ LES MOINS DE 25 ANS
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La contraception bientôt gratuite pour les femmes de moins de 25 ans
Déjà gratuite pour les mineures, la contraception étant, selon les statistiques, en « recul » chez les jeunes femmes avec comme premier motif, le renoncement pour raisons financières, elle le sera également pour les 18-25 ans dès le 1er janvier 2022.3 millions de jeunes femmes sont potentiellement concernées.
L’Assurance-maladie prendra en charge à 100 % et en tiers payant les frais nécessaires à la #contraception : une consultation par an avec un médecin ou une sage-femme, les examens biologiques afférents, ainsi que les contraceptifs proprement dits : certaines pilules, les implants, les stérilets, les diaphragmes et la contraception d’urgence hormonale.
À savoir : Ne sont pas concernés les préservatifs masculins et féminins, les crèmes spermicides, les patchs, les anneaux vaginaux et les pilules de 3e et 4e générations.
La limite d’âge a été fixée à 25 ans car « c'est un âge qui correspond, en terme de vie économique, sociale et de revenu » à « davantage d'autonomie », selon le ministère.Il existe de nombreux moyens de contraception aujourd'hui...
Apprenez à choisir la contraception la plus adaptée à votre situation avec ce tableau comparatif : bit.ly/3o8qC4M
Après un rapport sexuel mal ou non protégé, il existe la contraception d’urgence. C’est une méthode de « rattrapage » face à une situation à risque de grossesse.Deux types de contraception d’urgence existent : la #pilule d’urgence hormonale ou le dispositif intra-utérin (DIU, aussi appelé « stérilet ») au cuivre.
L’utilisation de la pilule d’urgence n’est donc pas une méthode abortive. Même si l’ovulation est retardée, elle aura lieu. Il est donc possible de tomber enceinte au cours du même cycle.
Continuer sa contraception et utiliser des préservatifs jusqu’aux prochaines règles sont donc indispensables pour éviter tout risque de grossesse non prévue.
Déjà gratuite pour les mineures, la contraception étant, selon les statistiques, en « recul » chez les jeunes femmes avec comme premier motif, le renoncement pour raisons financières, elle le sera également pour les 18-25 ans dès le 1er janvier 2022.3 millions de jeunes femmes sont potentiellement concernées.
L’Assurance-maladie prendra en charge à 100 % et en tiers payant les frais nécessaires à la #contraception : une consultation par an avec un médecin ou une sage-femme, les examens biologiques afférents, ainsi que les contraceptifs proprement dits : certaines pilules, les implants, les stérilets, les diaphragmes et la contraception d’urgence hormonale.
À savoir : Ne sont pas concernés les préservatifs masculins et féminins, les crèmes spermicides, les patchs, les anneaux vaginaux et les pilules de 3e et 4e générations.
La limite d’âge a été fixée à 25 ans car « c'est un âge qui correspond, en terme de vie économique, sociale et de revenu » à « davantage d'autonomie », selon le ministère.Il existe de nombreux moyens de contraception aujourd'hui...
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Après un rapport sexuel mal ou non protégé, il existe la contraception d’urgence. C’est une méthode de « rattrapage » face à une situation à risque de grossesse.Deux types de contraception d’urgence existent : la #pilule d’urgence hormonale ou le dispositif intra-utérin (DIU, aussi appelé « stérilet ») au cuivre.
L’utilisation de la pilule d’urgence n’est donc pas une méthode abortive. Même si l’ovulation est retardée, elle aura lieu. Il est donc possible de tomber enceinte au cours du même cycle.
Continuer sa contraception et utiliser des préservatifs jusqu’aux prochaines règles sont donc indispensables pour éviter tout risque de grossesse non prévue.
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